On s’y perd, on s’y dissoud, on s’y trahit, on y meurt plusieurs fois et on y ressuscite autant, transcendé ou avili.


Dans les nombreux Quartiers de la Cité sans fin se tissent tous les délires qui nourrissent le Wonde Werveilleux.

Associant magies futuristes et expériences technologiques, l’Hypercité n’a pas plus de frontières que l’Océan ou la Forêt. Elle est terrifiante, elle est glauque, elle est grandiose ! Elle se nourrit de l’organique, dévore l’âme, digère et régurgite tout ce qui vit et tout ce qui meurt. Vous y entrerez facilement. Essayez d’en sortir !

Au sud de Wonderful World s’étendent les merveilleuses horreurs de la Cité Sans Fin : son nom définit les limites de ce qu’on veut y vivre.

Selon l’endroit, elle sera organisée en quartiers. Ou divisée en arrondissement, gérée en district, provinces. Voire par endroits, administrée en pays. Une mer intérieure, dans l’enceinte de la Cité, est souvent évoquée. Les architectures les plus archaïques y côtoient des gratte-ciel conçus pour atteindre sinon perforer les portes des Lunes du ciel de Wonderful World. L’hypertechnologie s’y met en scène de la manière la plus spectaculaire, nourrie aux expériences les plus impies.

Courants artistiques, politiques, philosophiques, scientifiques s’y entredévorent quotidiennement, entraînant dans leurs spirales les chants et les hurlements des billiards de Citadins ayant choisi de se nourrir de ce maelstrom et magnifique.

C’est ici qu’on retrouve le Musée de la Terre… l’un des plus grands centres culturels de Wonderful World, qui accueillent les récits et les oeuvres du monde Terre.

Du 908 ème étage d’un immeuble quelconque au 65ème sous-fonds d’égouts, l’Hypercité, araignée tentaculaire, tisse des liens intimes et voraces, à travers des réseaux cellulaires, neuronaux ou d’informations avec chaque âme qui s’abreuve à son énergie perverse.

Au sud de Wonderful World s’étendent les merveilleuses horreurs de la Cité Sans Fin : son nom définit les limites de ce qu’on veut y vivre. 

Selon l’endroit, elle sera organisée en quartiers. Ou divisée en arrondissement, gérée en district, provinces. Voire par endroits, administrée en pays. Une mer intérieure, dans l’enceinte de la Cité, est souvent évoquée. Les architectures les plus archaïques y côtoient des gratte-ciel conçus pour atteindre sinon perforer les portes des Lunes du ciel de Wonderful World. L’hypertechnologie s’y met en scène de la manière la plus spectaculaire, nourrie aux expériences les plus impies. Courants artistiques, politiques, philosophiques, scientifiques s’y entredévorent quotidiennement, entraînant dans leurs spirales les chants et les hurlements des billiards de Citadins ayant choisi de se nourrir de ce maelstrom et magnifique. 

C’est ici qu’on retrouve le Musée de la Terre… l’un des plus grands centres culturels de Wonderful World, qui accueillent les récits et les oeuvres du monde Terre. 

Du 908 ème étage d’un immeuble quelconque au 65ème sous-fonds d’égouts, l’Hypercité, araignée tentaculaire, tisse des liens intimes et voraces, à travers des réseaux cellulaires, neuronaux ou d’informations avec chaque âme qui s’abreuve à son énergie perverse. 

De tous les univers de création de W, la Cité sans fin est sans doute le plus vaste car La Cité contient des mers, des forêts, des déserts et des temples du savoir (certes, ils sont tous limites, à l’inverse de l’Océan, de la Forêt, et du Désert de W). La Cité accueille tout, absolument tous les délires et expériences : c’est le lieu où se téléscopent les histoires et les fantasmes de plusieurs billiards de billiards de créatures : on y trouvera beaucoup de récits psychologiques, du policier, de la science-fiction. Dans certains quartiers, la Technologie y sera vénérée. Dans d’autres, elle y sera brûlée. C’est aussi dans la Cité que vit le Musée de la Terre, consacré aux oeuvres des Wiens ancrés dans la réalité de la Terre. 

De tous les univers de création de W, la Cité sans fin est sans doute le plus vaste car La Cité contient des mers, des forêts, des déserts et des temples du savoir (certes, ils sont tous limites, à l’inverse de l’Océan, de la Forêt, et du Désert de W). La Cité accueille tout, absolument tous les délires et expériences : c’est le lieu où se téléscopent les histoires et les fantasmes de plusieurs billiards de billiards de créatures : on y trouvera beaucoup de récits psychologiques, du policier, de la science-fiction. Dans certains quartiers, la Technologie y sera vénérée. Dans d’autres, elle y sera brûlée. C’est aussi dans la Cité que vit le Musée de la Terre, consacré aux oeuvres des Wiens ancrés dans la réalité de la Terre. 

Emmanuel Écrit par :