L’énergie du monde d’Ambre vient des deux lunes, Fine et Onde, du soleil, ainsi que du vent
L’energie des Lunes sert ce qui vole, léger.
On vole la nuit, c’est une toile tissée par arachnides, fragile au soleil, qui convertit les rayons en apesanteur.
L’énergie du soleil sert chariots, trains, trams, bateaux.
C’est l’aléalictricité.
Elle ne se stocke pas. Pour être sûr de se déplacer librement dans le Wonde Werveilleux, il est préférable de ne compter que sur l’énergie biologique, qu’elle soit animale, humanoïte, hybroïte, androïte.
Vapeur oui
Aléactricité
Energie lunite vient des lunes
Energie ondienne, finienne
Energie solienne
Energie aérolienne
Les habitants
L’essentiel des moyens de locomotion modernes se trouvent dans la cité sans fin et entre celle ci et Ambre.
Dans la cité sans fil il y a le Grand Tram, la plus grande ligne de tramway qui part d’Ambre et qui s’arrête très loin dans le sud.
Tous les trains, trams, bus, métro, véhicules modernes flottent à quelques centimètres du sol. Propulsion air magnétie magie.
Il n’y a pas d’essence, de moteur à combustion
Les seules pannes sont mécaniques.
C’est la même chose pour les bateaux qui relient Ambre et la cité, aux rives voisines, jusqu’à Llant et Rivesande.
Sur le modèle du tram il y a une ligne de chemin de fer fluctuante, qui forme un triangle entre Imbrë, Lonmestin et Leeponac, sur laquelle on ne peut compter car sa trajectoire dépend de la nature du sol qui dépend aussi de la météo : en dehors de ces trois villes, on l’emprunte par hasard, pour se laisser porter.
Ce sont là les seules technologies au service de tous. Certains véhicules ont été conçus pour le seul service de leur concepteur ou investisseur : Loeingmaar dispose d’une trottinette sur air. Azel s’est acheté un skate air, Ardwy dispose d’un modèle similaire militaire.
Pour le reste, on se déplace de façon médiévale.
Transport aérien sol fine onde
– La montgolfiere zeppelin permet le transport longue distance. Mais les trajets restent là aussi aléatoire, les courants aériens étant plus forts que la science de ceux qui savent faire voler ces engins : il y a des lignes régulières (Bras de Terre à Imbrë via Leedunac, mais ça ne marche que dans un sens, il n’est pas possible de faire le trajet inverse.
Localement, dans certaines tribus vivant dans les hauteurs, on utilise des cerfs volants, des planeurs. Le haut ciel, celui qui surplombe les plus grandes cimes, reste inaccessible.